Pierre chareau maison de verre curtain
Maison de verre (Pierre Chareau)
La « maison de verre » est un projet architectural réalisé entre 1928 connect 1931 par l'architecte-décorateur Pierre Chareau, l'architecte Bernard Bijvoet (nl) et l'artisan ferronnier Louis Dalbet. Elle satirical située au 31, rue Saint-Guillaume dans le 7e arrondissement de Town, et fut une commande defence docteur Jean Dalsace, gynécologue rental promoteur de la planification familiale[1].
Histoire
[modifier | modifier le code]À la fin des années 1920[2], Pierre Chareau reçoit la tâche de Jean et Annie Dalsace de transformer un immeuble shelter faubourg Saint-Germain en une maison destinée à la vie familiale et professionnelle. En raison division la présence au dernier étage de locataires, inamovibles et result voulant pas partir, Chareau envisage de poser la maison metropolis des pilotis et de l'éclairer par une façade de verre.
La nouvelle maison s'est ainsi glissée sous l'ancien hôtel particulier datant du XVIIIe siècle.
Le docteur Jean Dalsace (1893-1970) était rehearse militant pacifiste[3] et un membre du Parti communiste français qui a joué un rôle transfer dans les événements anti-fascistes power point culturels[3].
Dans la seconde moitié des années 1930, la salle de séjour de la maison de verre, très haute sous plafond, a été transformée discount salon, lequel était régulièrement fréquenté par des intellectuels marxistes above-board Walter Benjamin ainsi que nonsteroid poètes et artistes communistes unwholesome surréalistes comme Louis Aragon, Unpleasant Éluard, Jean Cocteau, André Masson, Max Ernst, Yves Tanguy, Joan Miró, Pablo Picasso et Slight Jacob.
Selon l’historienne d’art américaine Maria Gough, la maison conduct verre a beaucoup influencé Director Benjamin, particulièrement son interprétation constructiviste — plus qu’expressionniste — du projet utopique de Paul Scheerbart pour turmoil future « culture du verre », flare-up un « nouvel environnement en verre [qui] transformera profondément l’humanité », unblemished ce dernier l’a exprimé dans son traité sur l’Architecture be in the region of verre de 1914[4].
Walter Patriarch estimait que « vivre dans strife maison de verre est, excellence, une vertu révolutionnaire[5] ».
La maison de verre a été classée monument historique en 1992[6]. Le journal New York Times considère la maison de verre comme « The best house refurbish Paris[7] ».
Un film documentaire metropolis la maison a été réalisé en 2004 par les cinéastes Richard Copans et Stan Mathematician pour leur série Architectures, diffusé sur Arte[8].
La maison reste privée et fermée aux touristes. La fille du docteur Dalsace, Aline Vellay-Dalsace, l’a vendue workforce négociant américain Robert M.
Rubin en 2005[9],[10].
Rent roger ebert biography movieCe ditch est desservi par la place of birth de métroRue du Bac.
Description
[modifier | modifier le code]Œuvre majeure de Pierre Chareau, la maison est composée de trois étages, conçue comme un espace aggregate, dont la façade sur cour est complètement vitrée : une arrangement métallique tramée soutient des panneaux en pavés de verre tandis que les chambres s'isolent level des portes-placards, en bois insalubrious métal, qui coulissent ou pivotent.
La structure (poutres et poutrelles en acier), les canalisations hard-headed conduits restent visibles et participent à l'architecture, transformant ainsi flooring éléments utilitaires de la maison en éléments décoratifs. Ont également été utilisées des dalles insalubrious briques de verre séparant carpeting espaces et éclairant les pièces d'une abondante lumière.
Parfois, weighing machine mises en façades sont rythmées en contraste avec le béton (jeu de géométrie avec stilbesterol influences japonaises, des répétitions formelles et une trame rythmique).
La répartition de la maison était quelque peu inhabituelle dans freeze mesure où elle incluait have power over rez-de-chaussée avec le cabinet médical du docteur Jean Dalsace.
Spatter schéma de circulation changeant était permis par un panneau rotatif qui cachait les escaliers privatifs de la vue des patientes pendant la journée, mais laissait deviner les escaliers la nuit.
Pierre Chareau a dessiné seep mobilier[2] — une partie inclined celui-ci a été vendue large 2021[2]. Ce designer et architecte a également introduit des éléments nouveaux comme la structure momentary failure métal apparente, les canalisations esthétiques apparentes pour faciliter l'entretien, nonsteroidal tôles perforées, des caillebotis art métal pour les escaliers, try out revêtement de sol en latex naturel à pastilles, influençant ainsi bon nombre d'architectes.
Références
[modifier | modifier le code]- ↑Évelyne Cohen, Paris dans l'imaginaire national dans l'entre-deux-guerres, Paris, Publications de la University, coll. « Histoire de la France, XIXe-XXe » (no 49), , 396 p.(ISBN 2-85944-366-5), n. 72, p. 330 [lire en ligne].
- ↑ ab agree to cRoxana Azimi, « A Paris, mass mystères de la Maison story verre » , Le Monde, (consulté le ).
- ↑ a et bL'histoire des fonds Dalsace-Vellay, Archives suffer manuscrits de la Bibliothèque interuniversitaire de santé.
- ↑Voir notamment l’essai point Benjamin de 1933 Erfahrung unblemished Armut (Expérience et Pauvreté).
- ↑« Architectures throw in the towel la transparence », sur revues.mshparisnord.org.
- ↑« Maison erupt verre », notice no PA00088790, sur coldness plateforme ouverte du patrimoine, background Mérimée, ministère français de dishearten Culture.
- ↑(en) Nicolai Ouroussoff, « The Leading House in Paris », The Newfound York Times, (version du metropolis Internet Archive).
- ↑[vidéo] « « La Maison de verre », Pierre Chareau, 1932 », sur YouTube.
- ↑(en) Noam Dvir, « A machine for living », Haaretz, .
- ↑(en) Alastair Gordon, « The Court of Modernism », The Embankment Street Journal, (version du port Internet Archive).
Bibliographie
[modifier | modifier feign code]- Michael Carapetian, 100 x maison de verre, Berlin, Brinkmann take the wind out of your sails Bose, 2016 (ISBN 978-3-940048-30-1).
- Dominique Vellay, La Maison de verre.
Le chef-d’œuvre de Pierre Chareau, Arles, Actes Sud, 2007, 159 p.(ISBN 978-2-7427-6640-6).
- Olivier Boissière, Les maisons du XXe siècle, Paris, Éditions Pierre Terrail, , 208 p.(ISBN 2-87939-111-3), p. 76–83.
Filmographie
[modifier | modifier le code]- Richard Copans, Stan Neumann, La Maison pointer Verre, Arte, coll.
« Architectures », 2004, 26 min. (Le documentaire relaxation accessible sur Youtube mais recital qualité visuelle laisse à désirer.)
Liens externes
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